les musiciens par ordre d’apparition :
bulgarian symphony orchestra : cordes
quichotte : piano, guitares, chant…
guy nsangué : basse
carmen alix : chant, voix et fantaisies vocales
maxime zampieri : batterie
philippe draï : percussions
brad scott : contrebasse (quelques notes…)
nicolas giraud : trompette
philippe avril : guitare (rythmique fin…)
et aussi :
les enfants maliens qui chantent une contine dans leur village
elisa benavides qui lutte au chiapas aux côtés des indiens
une femme tzotzil qui parle et dit un poème
les grillons qui grillonnent
les grenouilles qui coassent
une femme malienne qui fait la vaisselle
l’histoire :
pour cette “mamita”, rencontrée par hasard sur un chemin de terre battue, à l’orée d’un village ou dans l’arrière-cuisine d’une famille toujours trop nombreuse, qui vous adopte en un clin d’oeil, vous prend sous ses ailes, qui que vous soyez, de toute façon elle sait déjà qui vous êtes, même et surtout si vous êtes seulement de passage…
les musiciens par ordre d’apparition :
guy nsangué : basse
quichotte : guitare, chant, orgue…
maxime zampieri : batteries
jean-paul long : guitare électrique
bulgarian symphony orchestra : cordes
alain gandit : programmation additionnelle
linda : choeurs
et aussi :
un hélicoptère, les “news”, jamais nouvelles, toujours bien dosées, si vous êtes accros à cet extraordinaire instrument de formatage des cerveaux, vous ne ferez que réciter ce que
vous n’avez ni ressenti, ni approfondi, donc pas “compris”… oubliez la clairvoyance, votre vision du monde… n’est pas la vôtre !
l’histoire :
toi, compagnon de route qui va mal, qui croit souffrir de tous les maux du monde, tout en les entretenant, pour être sûr de savoir les nommer, vanité, cynisme, tu n’as pas appris à t’alléger en ouvrant ton regard et ton coeur. Peut-être même en mourras-tu, si on veut bien te croire… et pourtant la nature est là qui seule peut te sauver, sauras-tu la laisser entrer en toi ?
les musiciens par ordre d’apparition :
nicolas giraud : birimbao
quichotte : guitare, chant, orgue…
guy nsangué : basse
carmen alix : choeurs et personnage
bulgarian symphony orchestra : cordes
maxime zampieri : batterie
et aussi :
le vent du désert qui accompagne le son du birimbao, les personnages du cap-vert, antonio, une femme qui chante, un vieil homme qui prie…
l’histoire :
on voyage toujours pour rencontrer mais les vraies rencontres sont souvent inattendues, on doit toujours repartir, on dit toujours qu’on reviendra, on le pense même souvent mais on sait qu’on ne reviendra probablement jamais… à moins que… On apprend à aimer l’incertitude, au lieu de vouloir l’éliminer. Tout un programme pour des occidentaux !
les musiciens par ordre d’apparition :
maxime zampieri : batterie
brad scott : contrebasse
quichotte : basse, guitares, piano, chant…
philippe draï : percussions du maghreb
edmundo carneiro : percussions latines
linda : choeurs
chantal dobieki : choeurs
xénia caraïbe : choeurs
bulgarian symphony orchestra : cordes
carmen alix : chant et voix
et aussi :
finot le chat, les vaches, animaux pacifiques martyrisés, un âne, aussi…bien que moins mangé, les oiseaux, les chevreaux, les grillons, les insectes, la nature quoi !
l’histoire :
impossible de rendre un plus bel hommage à la vie qu’avec cette chanson ! Quel monde merveilleux, quelle chance nous avons… pour combien de temps encore ?
les musiciens par ordre d’apparition :
quichotte : guitare, basse, percussions, chant, orgue…
pape dieye : percussions africaines
chantal dobieki : voix aladjan
guy nsangué : basse
jean-paul long : guitare
carmen alix : choeurs, voix espagnole
bulgarian symphony orchestra : cordes
et aussi :
les news boursières, une avocate menacée, l’aladjan, une langue et un peuple qui survivent en silence, une manifestation de femmes en amérique du sud ou ailleurs…
l’histoire :
laissons enfin les femmes prendre les rênes d’un monde que les hommes ont conduit à la lisière du désastre (peut-être est-ce déjà trop tard), ça ne pourra pas être pire…
les musiciens par ordre d’apparition :
quichotte : guitare, basse, percussions, chant, orgue…
pape dieye : percussions africaines
bulgarian symphony orchestra : cordes
maxime zampieri : batteries
et aussi :
les mouettes… évidemment ! une phrase que je n’ai jamais oubliée… des vagues évidemment… la météo marine (les news, toujours !)
l’histoire :
tu te battais sans relâche, contre le mouvement de la vie qui s’était, aux yeux des autres, inversé, contre la pression des lâches et des jaloux, contre la bêtise en général, pour la vie, qui est partout où le conformisme n’est plus, qui est partout où la sincérité parle. Merci d’avoir été là… je tente de continuer le combat, contre la violence et la bêtise, comme je peux et à ma façon, je sais qu’il y a une petite part de toi en moi.
les musiciens par ordre d’apparition :
maxime zampieri : batterie
brad scott : contrebasse
xénia caraïbe : chant
chantal dobieki : chant
quichotte : piano, guitares, orgue, chant, sanza…
edmundo carneiro : percussions latines
carmen alix : chant et personnages
bulgarian symphony orchestra : cordes
andres roe : guitare (une petite rythmique…)
chantal dobieki : chant, choeurs, voix…
xénia caraïbe : chant, choeurs, voix
et aussi :
les petits amis du chili, les mineurs du tournage de inca de oro, un quichotte qui sifflotte… et toujours les mouettes !
l’histoire :
il reste quelques endroits sur terre où il fait bon arriver par la mer, les gens ne sont pas riches, il ont simplement de quoi manger, ils savent s’entraider et regarder vers le large, ils sont profonds et joyeux… ce ne sont pas eux les “miséreux”!
les musiciens par ordre d’apparition :
bulgarian symphony orchestra : cordes
quichotte : guitare, piano, chant…
pape dieye : ngoni, percussions africaines
philippe draï : percussions du maghreb
maxime zampieri : batteries
linda : choeurs, voix
et aussi :
toujours le frère… toujours l’éclaireur… toujours les petits chiliens… toujours les amis du cap-vert… toujours ceux qui luttent au chiapas… toujours tous ceux qui souffrent… toujours la vieille femme tzotzi… toujours le vent… et pour finir comme on a commencé : les enfants et les animaux du mali, un village, n’importe où dans le monde, un endroit vrai…
l’histoire :
accepter d’être mortel, pas seulement au dernier moment… aimer quand il faut aimer, combattre lorsqu’il faut combattre, et continuer sans faiblir, quand les voix qui nous guidèrent s’éloigneront… ou s’éteindront