LA BELLE ET LE SAUVAGE
OUVERTURE
IVRESSE
DANSE
ELSA
ALICE
AMOUR
FINAL
2006
Réalisé par Bertrand ARTHUYS
Produit par Martine LHEUREUX pour LM les films
Musique composée et orchestrée par René-Marc BINI © Altynaï
Enregistrée par Philippe GAILLOT au studio RECALL 30, mixée par Renaud VAN WELDEN au TRIOLET
LA BELLE ET LE SAUVAGE Special Music Edit
Virginie MICHAUD : Violon
Eric ROUGET : Alto
Jean-Paul BIDEAU : Violoncelle
Anne-Claire CAZALET : Harpe
Jean MACH : Clarinette, clarinette basse, sax soprano
Andres ROE : Guitare flamenca
Jose Luis BETANCOR : Bandoneon
René-Marc BINI : Piano, Guitare, programmations
Comédie Atypique
Et voici une petite comédie assez atypique et bien sympathique réalisée par Bertrand Arthuys, que je croise pour la 2eme fois après la série LPS (1ere saison). Le scenario est vraiment réussi, avec une mention particulière pour les savoureux dialogues. Bravo Nathalie Carter !
Les comédies, c’est pas toujours le plus simple pour ce qui concerne la musique (c’est ça qu’on appelle un euphémisme). Faire du léger qui ait de la gueule, eh bien il faut de la complicité pour y arriver. Heureusement, avec Bertrand, c’est le cas. La recherche d’une couleur particulière au film le requiert.
Me voici donc parti dans l’arrangement de pistes de bandonéons (Jose Luis Betancor) et guitares flamenca (Andres Roe). Et voici bientôt un quatuor à cordes (j’ai toujours du mal à m’en passer), de la harpe avec la rencontre de l’excellente Anne-Claire Cazalet qui, fait étonnant, habite à 2 pas du studio Recall où, une fois n’est pas coutume, je finalise cette musique de film. Une petite infidélité à Philippe Avril, c’est à noter, pour un autre Philippe : Philippe Gaillot et son magnifique studio, sis à Pompignan, près de Montpellier. Évidemment, c’est plus près de mes attaches familiales. Ah oui, j’allais oublier une autre bonne rencontre : celle de Jean Mach, excellent clarinettiste-saxophoniste conseillé par le nouveau Phlippe qui, comme le premier, croise tant et tant de musiciens qu’on peut se fier à leurs conseils.
Ah, et j’oubliais aussi quelques instruments joués par votre serviteur, dont bien sûr le magnifique Steinway grand concert de Recall. Il est difficile de résister dans ces cas-là. Il faut le savoir.